Veines urbaines, le retour des arts urbains

Nouvelle édition du festival des arts urbains place Jean-Prévost, avec une journée festive et une grande exposition.

Depuis treize ans (avec une pause forcée en 2020 pour cause de Covid), toujours la même histoire : la place Jean-Prévost et son centre socioculturel s’électrisent, prennent des formes et des couleurs, le psssssscht des bombes de peinture accompagne les rythmes du hip-hop, les yeux et les sourires s’agrandissent sur les visages. C’est, du 30 avril au 11 juin, le retour de Veines urbaines, le festival stéphanais dédié aux arts urbains.

Jusqu’au 11 juin, le centre socioculturel Jean-Prévost accueillera donc l’exposition Veines urbaines, organisée e par la Ville avec le collectif Urban Mix : une centaine d’œuvres de vingt-deux artistes bas s pour la majorité dans la métropole rouennaise, mais aussi Marseille, Lyon ou Toulouse. Leurs noms, surnoms et signatures ? Another Dead Tree, Rémi Bourdel, Erwan Autret, Tony Boudin, Cosmoh, Dhoa, Evok, Fkit, Lizponio, Fab Delaunay, Kejo, Lksir, Val rie Mollero, Serge Prieux, Shong, Deuz, Mikoz, Nikko K.K.O, Pheno, Superstop et Kalouf.

Mais la journée festive la plus fidèle l’esprit du street art, celle qui attire le public autour de performances en direct, c’est la première de Veines urbaines, samedi 30 avril. Entre 15 h et 19 h, on pourra assister du live graffiti avec une partie des artistes exposés, ainsi que des démonstrations et battles de hip-hop. Les plus jeunes pourront aussi participer à des animations avec des encadrants du skatepark de Rouen ou s’initier au graffiti sous les conseils d’un pro. Et le vernissage officiel aura lieu à la fin de cette journée haute en couleur, de 18 h à 20h.

Votre navigateur est dépassé !

Mettez à jour votre navigateur pour voir ce site internet correctement. Mettre à jour mon navigateur

×